Bulletin Magnificat n°153 – Avril 2021

Editorial

Texte écrit pendant le Carême

ces couples qui se battent pour leur féconditéDoucement mais sûrement, nos regards se tournent vers la fête de Pâques qui se lève, lumineuse, à l’horizon. Nous pouvons nous intéresser à la préparation de la fête, à sa célébration, nous inquiétant peut-être de la manière dont nous pourrons rassembler amis ou famille. Nous pouvons aussi prendre le temps de nous réjouir de cette fête de la Vie de Dieu, qui vient à notre rencontre. Qui d’entre nous n’aurait pas besoin d’un renouveau dans sa vie, d’une renaissance, d’un redémarrage, d’un élan plus léger ?

Ces semaines, qui accompagnent le printemps dans la nature, impriment souvent en nous des désirs neufs. Désirs d’une vie libérée de ses soucis, d’une vie plus fluide, désencombrée de nos relations conflictuelles et de nos préoccupations qui grignotent notre énergie. Désirs aussi pour certaines femmes de donner la vie, pour la première fois, peut-être.

Il y a ces souffrances cachées qui ont l’art de remonter, sans prévenir, à la surface. C’est cette souffrance de prendre conscience d’une stérilité, dont nous ignorons si elle est temporaire ou définitive. Souffrance, et peut-être culpabilité d’une fécondité limitée, ralentie, fragile. Voilà que la nature s’ouvre, s’épanouit, manifeste une vitalité débordante, tandis que certains couples plient  intérieurement, ou se replient, en raison d’un manque au cœur de leurs entrailles. Le tombeau est seulement un lieu de passage ; personne, vraiment personne n’est fait pour y demeurer. Dieu lui-même passe dans des lieux sans vie qui sont parfois nos vies, Il se saisit de nos blessures, prend soin de nos plaies visibles et invisibles, et les fait fleurir à sa manière de Dieu.

Oui, la fête de Pâques vient nous donner l’assurance de la fécondité de toute vie humaine. Je n’ai pas à créer la vie, mais à la recevoir, avec ses surprises que Dieu me laisse découvrir au fil des jours. C’est bien l’amour, donné et reçu, qui fait que je suis passeur de vie. A chacun de devenir inventif pour aimer et être aimé doucement et tendrement, et à guetter, dans sa propre vie, les signes de fécondité et de Vie qui lui sont offerts gratuitement.

Violaine,
membre du conseil d’administration

Vie des maisons / Un quotidien bien animé

Maison de Ligueil

Maison Magnificat de Ligueil 153Il y a quelques semaines, lorsque je suis entrée à la Maison de Ligueil (accueillie, comme d’habitude, par un grand sourire), j’ai découvert un grand changement. Les Mamans, avec Armelle, la
Responsable de la Maison, avaient réaménagé le mobilier, et le rez-de-chaussée était transformé ! En se créant un « coin sieste », pour être au calme avec leur bébé tout en restant avec les autres, ou en déplaçant le bureau des Mamans au cœur de la Maison, elles se sont réapproprié les lieux et s’y sentent plus chez elles.

Cela tient à peu de choses ! Mais cela fait encore plus de la Maison, leur maison, et se ressent dans leur manière d’y vivre et leur plaisir à s’installer dans les pièces communes. C’est une grande joie de voir les Mamans s’épanouir à la Maison. Elles y prennent leurs marques rapidement, et se soutiennent beaucoup mutuellement, par un conseil, un service ou une oreille attentive…

Chaque nouvelle Maman qui arrive apporte sa richesse et change le groupe.  Et moi qui n’y suis pas tous les jours, je vois bien qu’il y a une différence à chaque fois que j’ai le bonheur de leur rendre une visite. La Maison de Ligueil accueille actuellement 5 Mamans, dont 3 avec leur nouveau-né.

Et même quand elles ne réorganisent pas le mobilier, elles ont toujours un quotidien bien animé, entre rendez-vous médicaux, administratifs, et démarches pour préparer leurs projets après la Maison.

Les repas sont joyeux et rythmés par les interventions des bébés… Même si certains moments sont plus difficiles, bien sûrs, avec des questionnements souvent douloureux, de profondes blessures à panser et encore des épreuves à relever… Les ressources que ces Mamans trouvent en elles pour surmonter les épreuves, bâtir de nouveaux projets de vie, et leur amour pour leur enfant, sont une inspiration constante !

Marie,
déléguée générale

Maison de Laval

Le 1er février dernier, j’ai poussé pour la première fois le lourd portail de la maison Magnificat de Laval.
Une joie intense m’a alors envahie à l’idée de démarrer cette nouvelle aventure : accompagner ces mamans courageuses et protéger concrètement la vie, quel beau projet !
J’ai été reçue par Aurore, notre responsable, et Sandrine notre maîtresse de maison. Leur large sourire et leur accueil chaleureux m’ont tout de suite mise en confiance. Je découvris aussi les mamans. J’ai pris une grande inspiration, ça y est, j’y étais ! Il n’y avait plus qu’à découvrir ce qui m’attendait.

Les semaines se sont enchainées avec pour chaque journée son lot d’activités : accueillir une nouvelle maman, lui montrer la maison en lui permettant de se sentir bien dans ce nouveau foyer.
Accompagner les mamans présentes pour un rendez-vous ou une balade, leur faire découvrir les joies de la couture, peinture et autre bricolage pour préparer doucement et artistiquement la venue de leur bébé, et  préparer un bon repas, un bon goûter, rechercher de nouvelles recettes. Sans oublier toute la logistique de la maison : faire les courses, trier tous les dons reçus, voire réparer un néon cassé ou nettoyer les dalles de l’entrée… autant de petites choses qui permettent à la maison de tourner.

Tous ces moments et les talents de toutes font de Magnificat un lieu agréable et plein de vie. Chacune peut y prendre sa place et grandir dans un lieu rassurant où l’on partage les joies et où l’on se
soutient dans les difficultés. Pour ma part, la difficulté a été de voir certaines mamans accueillies ne pas se sentir à leur place pour diverses raisons et repartir. Ce fut une vraie déception pour moi. Je sais que l’expérience m’apprendra à respecter la décision de toutes ces femmes. Ne pas vouloir sauver le monde, mais juste accompagner et aimer sans jugement et en vérité : voilà ma ligne de conduite pour la suite.

Sophie-Charlotte,
accompagnatrice

Témoignage

Installée à Magnificat depuis la période de Noël, j’attends un enfant pour l’été. Mes premières impressions lors de mon arrivée à la maison de Laval ont été d’y trouver une maison agréable avec une ambiance chaleureuse. Je me souviens d’avoir été surprise qu’une association comme celle-ci existe. J’ai été marquée par le fait qu’elle soit prête à accueillir aussi rapidement les femmes
enceintes dans le besoin, et à les accompagner jusqu’au bout.

Au fil des jours passés à Magnificat je ressens un bien-être à être accompagnée dans ma grossesse et pour la vie d’après. De plus, la vie dans la maison est agréable comme une vie familiale. Cette vie en communauté me permet de ne pas me sentir seule, de partager des moments conviviaux riches en partage et d’apprendre à se connaître entre nous.

Dans l’ensemble Magnificat m’apporte du soutien, de l’écoute, un rythme de vie, des objectifs et du dynamisme qui je l’espère me permettront de gagner en autonomie, de guérir de mon passé et de prendre mon envol avec mon bébé.

Une maman

Accueillir la vie, dossier Magnificat 153Accueillir la vie

Un autre combat pour la vie : celui des couples souffrant de ne pas pouvoir l’accueillir

Les Mamans accueillies chez Magnificat se battent pour accueillir la vie, déjà présente en elles. Une vie « non programmée », qui vient bouleverser leurs projets, mais qu’elles attendent avec impatience, et accueillent avec tant d’amour ! Dans la continuité du bulletin précédent (n°152), nous avons souhaité vous proposer ici des témoignages d’un autre combat pour la vie : celui de couples qui ne peuvent pas donner la vie, ou pour qui c’est un parcours plus sinueux. Ce combat fait naître en eux la même impatience, et beaucoup d’amour !

J’ai rencontré Christian et Jeanne au beau milieu des Pyrénées. Ils ont une bergerie en pleine montagne, dans laquelle ils reçoivent tout l’été une multitude de neveux et nièces, amis… Invitée par
un cousin, j’ai passé avec eux une semaine extraordinaire : soirées aux chandelles puisque la bergerie n’a pas l’électricité, randonnées en montagne, chants au coin du feu, un accueil dans une
extraordinaire simplicité, qui permet à la joie de prendre toute la place ! N’ayant pu donner la vie, ils ont choisi de donner du goût à la vie. Voici leur témoignage.

Aurore

Malédictions et bénédictions

Il nous arrive à tous de déplorer que les choses soient mal faites !
Les brunes se voudraient blondes, ou les blondes brunes, les bouclées envient les cheveux lisses, et vice-versa…
Nos vrais malheurs ne sont pas là. Ce qui nous atteint est ce qui touche à la vie. Comme on comprend ces parents épuisés à qui il arrive de pleurer parce qu’ils ont un enfant ! Et comme on comprend celui ou celle qui pleure de ne pas avoir donné un beau jour naissance à un enfant, et qui pleure encore de ne pas donner la vie à son enfant ou à ses enfants chaque jour !

Témoignage, Magnificat 153

Il ne nous aura pas été donné au cours de notre vie de donner la vie. Il pourrait sembler choquant qu’à la fois nous désirions des enfants et que nous n’ayons sans doute pas tout fait pour
en avoir : peut-être existe-t-il quelque part tel médecin ou tel saint qui aurait pu produire un miracle ; que se serait-il passé si notre détermination avait été sans limite ? Peut-être aurions-nous épuisé toutes les voies possibles ? Ou peut-être nous serions-nous épuisés nous-mêmes ?

Dans un monde où il peut sembler que nos désirs doivent tout obtenir, où notre culture nous pousse à croire qu’il suffit de se bouger, aurons-nous assez remué ciel et terre ? La question demeurera sans réponse autre que celle de notre choix conjoint.

Nous avons tout entendu, et nous avons même tout écouté : “de nos jours, il est impossible de ne pas avoir d’enfants” de la part de ceux qui poussaient vers la PMA, à : “comme vous avez raison  d’avoir choisi de ne pas avoir d’enfants, avec la pollution, la pauvreté, la violence” de la part de ceux qui voulaient nous consoler en suggérant que ce n’était pas si grave…

Ces deux manières de vouloir nous consoler étaient bien intentionnées, mais ne nous parlaient pas suffisamment pour étancher notre soif. Nous ne nous reconnaissions vraiment ni dans l’un ni
dans l’autre, nous voulions plus, plus loin, plus radical peut-être… en transformant notre manière de voir la vie. Et nous avons eu la chance ou la grâce de ne pas tomber dans le piège des récriminations, du ressassement.

Pleurer, oui !
Entretenir le malheur, non !

Nous côtoyons des couples qui n’ont pas la joie d’avoir des enfants et qui allaient jusqu’à souffrir de la présence d’enfants. Comme nous les comprenons ! Mais… parce que nous n’avons pas d’enfant “à nous”, nous devrions nous attrister qu’il existe des enfants ? Ajouter la tristesse de la présence à la tristesse de l’absence ?

Un jour, échangeant avec des personnes sans enfant, une parole nous a frappés  Il s’agissait d’un couple en grande souffrance, qui souffrait du sentiment de n’être pas compris. Tout le monde y passait, jusqu’aux prêtres qui, disaient-ils, ne pouvaient pas les comprendre. Et si c’était le contraire ? Les prêtres ou les consacrés ne sont-ils pas justement, et plus que nous peut-être, comme nous ? Aimant les familles, sans avoir la leur ? La foi chrétienne défend ardemment la famille, elle défend aussi le célibat des prêtres ! La vie de ces célibataires est aussi d’une valeur inouïe.

Cela a été pour nous un signe : affirmer le miracle de la famille n’implique aucunement qu’une vie sans enfant soit inutile ou insupportable. L’épreuve de la stérilité nous a ainsi mis au défi : qu’allions-nous faire? Que faire des larmes de ceux qui pleurent parce qu’aucune larme d’enfant ne les éveille la nuit ? Que faire de cette disponibilité toute particulière qui était la nôtre ? Nous avons voulu choisir la voie de l’alliance, celle qui consiste à mettre nos pauvretés en commun : justement parce que nous n’en avons pas, à témoigner de ce que l’existence des enfants, et plus largement, de chacun, est un miracle.

Non seulement il faut en témoigner, mais nous devons tenter d’aider à rendre ce miracle manifeste ! Ainsi, tout récemment, avons-nous changé de pays à l’appel d’une tante âgée afin de lui
permettre de vivre chez elle : dix ans après ma reconversion comme infirmière, métier qui se révèle plus utile que le marketing d’avant ! Et voilà que nous avons la bénédiction, nouvelle pour
nous, de répondre à des appels au cœur de la nuit ! Qui prétend que les bénédictions doivent être de tout repos ?

“Heureux ceux qui pleurent !”

Christian et Jeanne de Buyer

La NaProTechnologie, une nouvelle réponse à l’infertilité

Découvrir la NaprotechnologieNous nous sommes mariés en mai 2013, un an après notre rencontre. Nous avions dès notre mariage ce désir d’agrandir notre famille.

Avant de nous marier, nous avions abordé cette question de l’infertilité. Notre seul désaccord pendant cette période de fiançailles résidait dans cette question « jusqu’où irait-on dans les traitements ? ».

Mon fiancé était vraiment catégorique sur la question de la Procréation Médicalement Assistée et m’a dit « personnellement je n’ai pas envie de passer par là, j’ai besoin qu’on aille chercher les causes de l’infertilité pour que l’on puisse se donner toutes les chances de concevoir naturellement » ; moi, je n’avais pas le même avis sur la question : sortant de mes études de sage-femme, les professionnels de santé qui me donnaient cours m’avaient présenté la PMA comme étant le seul traitement de l’infertilité. Désirant être en phase avec lui, j’ai beaucoup réfléchi sur le sujet, cherché des réponses, et avant de nous marier nous étions d’accord sur le fait qu’en cas de difficultés à concevoir, nous ne ferions pas appel à la PMA !

1 cycle, 2 cycles, 3 cycles, 12 cycles… le bébé n’est pas au rendez-vous !
Le sujet est tellement intime qu’on ne sait pas vraiment à qui en parler. Nous nous sentons bien seuls face à ce souci et nous posons aussi la question de la fécondité de notre mariage. Oui, on
sait théoriquement que la fécondité du mariage va au-delà de l’accueil des enfants… mais quand même, on se voyait bien être féconds à travers nos enfants ! Ce n’est qu’avec du recul qu’on peut se le dire mais même infertiles nous  étions féconds. Il ne nous semble pas avoir vécu cette période en vase clos, mais plutôt malgré la souffrance, ouverts sur l’extérieur à travers des engagements
communs, des projets qui nous tenaient à cœur, de la disponibilité pour des amis, des gens dans le besoin…

Puis nous nous confions un an après notre mariage à une amie revue par hasard, qui nous parle de la NaProTechnologie : « c’est une médecine de pointe, restauratrice de la fertilité qui a deux objectifs :

  1. trouver les causes sous-jacentes à l’infertilité
  2. pour les traiter en vue d’une conception naturelle ».

Cela nous semble vraiment intéressant et adapté à ce que nous voulions entreprendre si l’infertilité venait à s’inviter chez nous : une recherche approfondie des causes, le traitement de
celles-ci, et la conception naturelle !

Nous rencontrons d’abord une « instructrice » qui nous coach sur notre cycle (je dis « notre », car mon mari était présent quasiment à chaque rendez-vous.) À la suite de ces rendez-vous, nous maitrisions les phases fertiles et infertiles du cycle menstruel, nous connaissions notre cycle comme notre poche et étions prêts à aller voir le médecin, formé lui aussi à cette médecine restauratrice de la fertilité. Nous ressortons de la consultation avec une batterie d’examens que nous avons faits, grâce à l’étude du cycle faite en amont avec l’instructrice, à des moments très précis, ce qui rend les résultats extrêmement probants. Ce médecin nous envoie voir des pontes de la fertilité féminine et masculine en fonction de nos résultats d’examen.

Premier coup dur : le spermogramme n’est pas bon… mon mari passe sur le billard… on refait un spermogramme trois mois après… ouf ! le problème est réglé… !

Trois cycles plus tard… j’ai un jour de retard… nous faisons un test de grossesse sur lequel s’affichent 2 petites barres… émus aux larmes, on n’y croit pas, on saute de joie ! Malheureusement, 4
jours après, nous perdons cette petite vie qui s’était doucement installée en moi… nous étions profondément tristes mais « ça avait marché pour la première fois… » : l’espérance nous a vite
rejoints !

Nous continuons notre parcours médical avec la NaProTechnologie… et au bout de 15 mois de suivi, le médecin nous dit : « bon, nous avons presque tout exploré, s’il n’y pas de grossesse dans 6 mois, je vous proposerai Madame de faire une petite opération : “une cœlioscopie” (pour vérifier par voie abdominale, s’il n’y a pas des choses à diagnostiquer et à traiter sur et autour de l’appareil
génital féminin). Les 6 mois passent, pas de grossesse en vue… nous prenons rendez-vous avec le chirurgien. Le jour de l’opération arrive, et on me diagnostique de l’endométriose et des adhérences pelviennes… qui faisaient vriller une trompe et empêchaient qu’une fécondation puisse s’y dérouler. On repart de l’hôpital gonflés d’espérance…

10 jours après, une autre petite vie s’installe : ça y est je suis enceinte ! 9 mois après, nous tenons notre petit garçon dans les bras, quelle joie immense ! Tout ce parcours nous a permis d’accueillir notre fils comme un don, comme un véritable cadeau !

Grâce à cette médecine, la NaProTechnologie, nous avons trouvé toutes les causes de notre infertilité et nous les avons traitées de manière pérenne. Et aujourd’hui, nous venons d’avoir notre troisième enfant !

Asso active

L'ombre d'un royaume, un roman de Alix GoisqueChères Maisons Magnificat,
C’est avec une très grande joie que j’ai pu vous offrir il y a quelques semaines le fruit de mon travail. Je m’appelle Alix Goisque, j’ai 19 ans et j’ai découvert la Maison Magnificat grâce au scoutisme. Pendant une sortie à Ligueil pour donner un coup de main pour le jardinage, j’ai rencontré ces mamans souriantes et quelques bouts de choux adorables dans une ambiance paisible et apaisante ! C’est bien ce qui m’a décidée !

Passionnée par l’histoire et l’écriture, j’ai eu la chance d’éditer un premier roman jeunesse : les Lys du Bocage en 2018. Puis en juillet dernier, le premier volume d’une trilogie : « Le prince oublié ». Le second tome qui est prévu d’ici mi-avril : « A L’ombre d’un Royaume », nous fait voyager du Mont Saint Michel aux Highlands à la suite de trois jeunes français épris d’aventure.

C’est donc tout naturellement que j’ai choisi de reverser mes bénéfices à cette si belle association pour contribuer, à ma manière, à cette magnifique aventure qu’est l’accueil de la Vie. En union de prière avec toutes ces mamans,

Alix.

Nous sommes infiniment reconnaissants à Alix pour son généreux soutien qui nous touche beaucoup, et ne pouvons que vous encourager à offrir ces romans pleins d’idéal et d’aventure à vos enfants ou petits-enfants !
Aux Editions du Sacré-Cœur.